Toujours aussi actifs contre la privatisation de l'université et pas contents du tout de la désinformation autour de prétendues négociations et autres avancées de crabe, les étudiants feront lundi leur rentrée dans la rue. La veille, c'est le 8 mars, journée internationale des droits des femmes. Croyez-vous que j'allais rater une aussi belle occasion ? Que nenni.
Le genre (voir ici et ), dont j'ai pu discuter avec des étudiants aussi intéressés que mal informés, méritait bien un cours hors les murs. Soumya Ammar Khodja a bien voulu s'associer à ce projet, avec une thématique qui la préoccupe : partout où on parle d'art, on ne parle que d'hommes. Les femmes seraient-elles une espèce en voie de disparition ? (me tâte) Je ne crois pas. Alors pourquoi une exclusion aussi systématique des femmes dans la pensée sur l'art ?

Vendredi 13 mars (venez, chats noirs) nous serons au Marulaz de 17h à 19h pour un cours ouvert à tous :

  • à 17h Le féminin d'artiste n'est pas muse cours magistral avec Soumya Ammar Khodja
  • à 18h Le genre, ce vêtement trop étroit (une introduction à la notion de genre) cours suivi d'un TP avec Adrien' Mermet