Pendant que la Tunisie se soulève (des dizaines de morts, et c'est une bonne nouvelle) et qu'on ne sait toujours rien de ce qui se passe en Islande, pendant que nous digérons tranquillement notre repas de réveillon, le pays que j'habite (Pourquoi dirais-je : "mon" ou "notre" pays, quand je constate tous les jours que je ne puis y accueillir qui je l'entends, ni empêcher qu'on m'y filme et qu'on m'y espionne ?) leur pays donc, continue les expulsions. Voilà, c'est tout, ce n'est pas une grande nouvelle. Je m'étonne presque de pleurer encore.