L'enragé'

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. › Au fil des jours

Fil des billets

samedi 9 mai 2009

... les larmes des autres

Une immense fatigue, voilà ce qu'il me reste. Une migraine d'anthologie. Je ne devrais même pas être devant mon ordi mais qu'est-ce que vous voulez, il me faut ma dose. Mes yeux sont des couilles meurtries, mes nerfs oculaires contractés peinent à joindre leurs extrémités. Je sucre les fraises, bien entendu, ce qui ne m'aide pas à taper dans l'obscurité, en ne jetant que de brefs coups d'œil à l'écran -luminosité très basse et fond anthracite me le rendent tout juste supportable. Du repos, du calme, me priver de café. Je retrouve le rythme cardiaque affolé et la respiration haletante du lapin qu'on égorge. Ne pas se demander comment je serais monté au campus s'il l'avait fallu. J'y serais arrivé, oh ça oui. La mort, c'est d'avoir encore un peu de souffle et de n'en rien faire.
Assez pleuré sur mon corps. Le plus dur, c'est de recommencer à aller en cours, -ô joie de retrouver mes chères maths, que tu es amère- de parler avec les profs des connaissances accumulées sans moi par les clients de l'université, mes camarades, comme de "retard" à "rattraper". La tortue a continué son chemin, voilà que le lièvre qui n'a pas réussi à éteindre l'incendie sans elle est sommé de la rejoindre. Que ses pattes ne le portent plus, ce n'est pas cela qui lui crève le cœur. C'est de voir, car il se retourne pour regarder, le lièvre, c'est de contempler les ruines fumantes, le désastre imbécile contre lequel il a lutté de toutes ses forces. Les spectateurs font bien de lui jeter des seaux d'eau glacée au passage : nul ne peut voir les larmes qu'il n'essuie même pas. Sa bouche tordue semble un rictus d'effort sportif pour celui qui ne pense qu'à la course, et c'est peut-être mieux ainsi.

La sollicitude des lâches...

Un jour, j'ai vu deux types s'empoigner devant la librairie. L'un cherchait à s'expliquer tandis que l'autre cognait. Et quels coups ! Un terrible boxeur. Je me suis interposée entre ces bras gros comme mes cuisses et leur cible pacifique, essayant d'aider les excuses et justifications du jeune homme en sang à parvenir aux oreilles de son ancien ami : de l'argent prêté, un départ précipité, une enveloppe qui contenait la somme due mais n'avait pas été ouverte,... le malentendu aurait pu se dissiper aisément.
Vingt, trente personnes assistaient à l'incident. Avec l'aide de quelques unes, je pouvais empêcher l'agresseur de frapper, le forcer à écouter son ami. Mais mes appels à l'aide ne reçurent aucune réponse. Les gens avaient appelé la police, maintenant ils attendaient, prêts à intervenir si... Si quoi ? Des coups dont le moindre m'aurait assommé, ce n'était pas une raison d'intervenir ?
Par-dessus ma tête, les imprécations continuaient à fuser. Pendant dix longues minutes, je ne pus que m'interposer. Dès que je cessais de faire barrage, les coups recommençaient. Seul le machisme du boxeur me protégea de ses énormes poings, il n'osa pas aller au-delà de bourrades -dont l'une me projeta tout de même au sol, à plusieurs mètres. Quand l'arrivée de la police fut imminente, il s'éloigna enfin, promettant à l'autre de se venger plus tard.
La foule se dispersa lentement, avec cet air de regret si méprisable du spectateur insatisfait. Je repris mon poste, la tête encore pleine du tumulte de l'altercation. Une, deux trois personnes vinrent l'une après l'autre, penaudes, me remercier d'avoir agi à leur place. Bien sûr, les autres n'étaient pas moins lâches qui ne se reprochaient rien. Mais si je n'ai pas accueilli ces excuses avec les froids reproches qu'elles méritaient, c'est ce que je ferais aujourd'hui. Et même si ces personnes avaient pu, après coup, m'apporter un peu d'aide (comme c'est le cas aujourd'hui avec ceux dont je parle en réalité - se reconnaîtront-ils ?) je ne saurais leur en être reconnaissante. Non décidément, aucune sollicitude n'excuse ni ne rachète la lâcheté.

mercredi 4 mars 2009

Ces flemmards qui n'y arrivent pas

Plumes, mon jeune mais passionnant forum d'écriture, est logé chez forumactif. Constatant que la longueur des messages est trop limitée, je suis allé réclamer : ils ont un forum exprès pour ça. Vertigineux. Passons. Suite à ma demande, des suggestions m'ont été faites, qui me rappellent la blague de la logeuse moscovite (disant à son nouveau locataire : Si vous avez besoin de quoi que ce soit, venez me voir, je vous expliquerai comment vous en passer.) par exemple, faire un PDF avec son texte pour le poster en un seul bloc, ou l'héberger ailleurs et le mettre en lien (un comble !).
Expliquant que les membres de mon forum ne sont pas nécessairement à l'aise avec ce type de manipulations, je me suis attiré des commentaires désobligeants quant à leur manque d'ouverture d'esprit. Je cite (en l'état parce que la grandeur d'âme ça va un moment) : S'ils ne veulent pas imaginer/ innover, ce seriant des flémards, non ?
Nous autres geeks avons tendance à trouver tout naturel de bidouiller, mais il ne faudrait pas oublier que nous ne sommes pas tous égaux devant les technologies. Traiter de flemmard quelqu'un qui meurt de stress dès qu'il entend "clic droit", c'est un peu dur je trouve.
J'ai discuté dernièrement avec un tuteur de maths qui voyait dans ses moins bons élèves des flemmards ou des idiots, tentant de lui expliquer que quand ma petite voisine vient faire ses maths chez moi avec ce commentaire de sa mère : "Elle a un problème impossible à faire." il est normal qu'elle n'y arrive pas, sans être idiote ou paresseuse. L'informatique fait le même effet que les maths à beaucoup de gens, et dans les deux cas je pense que c'est seulement avec de la patience et de la compréhension que nous y pouvons quelque chose.

dimanche 22 février 2009

Quel âge ?

Il paraît que je ne les fais pas. Mes trente ans. Les dix ans de mes vingt ans. Je parais qu'il ne les fait pas. Mon visage d'enfant, ma gueule d'ange. Et ma petite taille, mes fringues d'ado, mes gamineries. Si j'ai réussi mon brevet ? Heu, oui pourquoi ? Ah non, ce n'était pas cette année. Ahurissement des gens quand ils apprennent que j'ai un enfant, qu'il a dix ans. Ils comptent, froncent les sourcils, recomptent. Se rendent à l'évidence. Je souris. Ils recommencent à compter.

Fascinée par Dorian Gray, j'avais songé à son marché devant mon portrait, à dix-huit ans. L'amie qu'il l'a peint l'a entièrement repris plusieurs fois depuis, mon image a vieilli tandis que je ne le faisais pas.
Quand j'ai vu la dernière version qui était très différente, sans âge précis mais certainement pas aussi vieille que la précédente, j'ai été prise d'un trouble superstitieux plus grand que je n'aurais cru. Je n'ai pas vieilli pour autant de toutes ces années confiées à mon portrait ; elles sont toujours là-bas, sous la peinture. Ou peut-être que ça n'a rien à voir.

Enfant, ça m'énervait. On me donnait neuf ans quand j'en avais quatorze. Trop sautillante pour mon âge. En grandissant ça s'est mis à m'amuser de plus en plus. Et plus je m'amusais, plus j'oubliais de vieillir. Je tiens de mes petits camarades de jeu online, ceux qui m'ont appris les rudiments du sms, que quand on met de vieilles souris avec des jeunes, elles vivent plus longtemps. Fumer provoque le vieillissement de la peau, mais oui. Et porter des montres, utiliser des agendas, être pressé, s'ennuyer ?

lundi 16 février 2009

Heure d'été

Il est dix heures dix.

jeudi 12 février 2009

Sentiments calibrés

Je suis allergique aux violons : mes yeux se remplissent tous seuls de larmes au moindre trémolo. A mon grand dam, j'ai pu constater que la plupart des films nous servent cette tarte à la crème. Qu'un enfant soit atteint d'une maladie incurable ou que le second rôle dise au revoir à son chien, confié pour une semaine aux voisins, ça ne rate pas : aux deux tiers du film, les violons.
A la maison j'en profite pour aller pisser, mais au cinéma ? Et quand j'ai pas envie ? Ma gorge se serre sans que je puisse l'empêcher. Si ça dure quelques minutes, je pleure et simultanément j'enrage. Je sens qu'on veut m'acheter, forcer mon adhésion par des moyens déloyaux ; et avec quelle efficacité cette volonté étrangère s'empare de mes glandes lacrymales !
Mon pire souvenir dans ce registre, le tombeau des lucioles, est l'histoire inepte d'un adolescent qui laisse sa petite sœur chérie mourir de faim sans raison particulière. Aujourd'hui je ne supporterais pas ça dix minutes, mais à l'époque je n'interrompais jamais un film. J'ai bien cru que ma gorge allait éclater, et je lui garde une rancune farouche qui rejaillit jusque sur ces innocentes bestioles.

lundi 2 février 2009

La dÉsencyclopédie

La dÉs' est une anti-encyclope et dit que l'humour, ça vaut mieux que de se casser les bonbons. Attention les yeux : l'humour débile, gras ou méchant y est chez lui. Mais quand on aime, c'est super drôle. Bref, allez-y !
Mes préférés :

La marée :

dimanche 25 janvier 2009

Jeu de rôle

Le jeu de rôle, cet épouvantail à parents, vous connaissez ? On a dit beaucoup de bêtises sur ce loisir pourtant convivial et enrichissant. Partant du principe qu'on craint moins ce qu'on connait mieux, je vous en propose une petite présentation.

Le principe est de raconter une histoire à plusieurs. Des amis se réunissent autour d'une table, ils portent leurs habits de tous les jours et sont simplement munis de dés et de quelques feuilles de papier. L'un d'eux, joueur expérimenté, est chargé d'assurer la cohésion de l'histoire ; il s'occupe de tous les éléments rencontrés par les joueurs : lieux, événements, personnages secondaires seront décrits par ses soins. Chacun des autres joueurs interprète un personnage, souvent d'inspiration fantastique : elfe, fée, magicien,... rien de tel pour rêver un peu, demandez à nos meilleurs conteurs.

Pour vous en faire une idée, imaginez que vous racontez un conte de votre crû à quelqu'un. Votre imagination et les demandes de votre auditeur vont diriger les pas du héros. Maintenant, si une autre personne intervient et vous donne la réplique en jouant un autre personnage, si les questions de l'auditeur sont particulièrement pertinentes, vous faites quelque chose qui ressemble beaucoup au jeu de rôle.

Il existe des variantes, la plus connue étant le jeu grandeur nature qui se pratique costumé, souvent durant un week-end ; les joueurs interprètent alors leur personnage comme des acteurs, tout en décidant des réactions qu'ils leur prêtent. Le contexte permet de créer une ambiance riche et festive : en particulier, les conversations sont entièrement jouées et les costumes souvent magnifiques.

dimanche 18 janvier 2009

Baignade

Quand vous allez à la piscine avec des amis, si quelqu'un veut rentrer au bout d'un quart d'heure, vous trouverez que c'est trop tôt. Plus tard, il arrivera un moment où vous ne protesteriez pas si il fallait partir. Enfin, si la séance se prolonge, sans doute finirez-vous par le suggérer vous-même.
Sauf que la durée n'est pas la seule cause de regret. Si vous aviez projeté de jouer au ballon, vous serez déçu de partir sans l'avoir fait, même après une très longue baignade. Si vous détestez le rhabillage, vous serez tenté de traîner dans l'eau alors que vous en avez assez.
En allant à la piscine, votre but était de vous amuser. Il serait dommage de repartir dans de telles dispositions d'esprit. Alors faites tout ce qui vous tient à cœur tout de suite, et si vraiment ce n'est pas possible, n'y pensez plus. Après une bonne baignade, ne vous attardez pas pour de mauvaises raisons. Arrangez-vous pour pouvoir vous dire en partant "Ah, c'était chouette !".

Ma vie est comme cette baignade : la seule raison que j'ai de choisir d'y rester, c'est qu'elle me plaît. Je suis content d'y être, mais quand viendra l'heure de partir, je n'aurai aucun regret. Je crois que je dirai simplement "Ah, c'était chouette !"

mercredi 14 janvier 2009

Ces sales fumeurs

A l'époque où j'ai commencé à fumer, avant d'allumer ma clope sur un banc en plein air, je demandais à mes voisins de banc si ça les dérangeait. Depuis quelques années, la réponse est oui, systématiquement. Alors je ne demande plus, je l'allume et tant pis pour les asthmatiques. Non d'ailleurs : rien que l'idée d'avoir un voisin de banc probablement aussi consensuel - quoique pas très sensuel - m'écœure, et je me lève pour aller fumer plus loin.

En allumant une clope, je me demande généralement si je risque de déranger quelqu'un. Puisqu'on me le dit, que je dérange... Par contre, ma voisine de bus ne se demande pas ce que la demi-bouteille de parfum qu'elle s'est versé dessus fait à mon odorat délicat. Chère voisine de bus, apprenez ici si vous me lisez jamais, qu'après avoir supporté votre envoûtante compagnie j'ai l'impression d'avoir bu du parfum. Et si je n'en mets pas ce n'est pas pour en boire.

Nous sommes six milliards de gens sur cette planète, ça commence à faire beaucoup, on a du mal à se supporter. Alors au petit bonheur, on s'attaque à un groupe de personnes pour donner l'impression d'œuvrer en faveur des autres. On les conspue, on les aide (à arrêter bien sûr), on les taxe, on les met dehors, on édicte des règlements sadiques de ridicule. Je vous assure : le plus dur à supporter là-dedans, c'est combien c'est ridicule.

Mais c'est pour notre bien ! Je ne savais pas, mais nous les fumeurs on a besoin d'aide. D'abord parce que, c'est connu, le fumeur est bête : vous pouvez lui dire et lui répéter que c'est mauvais pour sa santé, il n'a pas l'air de s'en rendre compte. Et surtout, parce que le fumeur est veule : il veut arrêter, il décide d'arrêter, en attendant il fume toujours. Il a sûrement besoin qu'on l'aide à arrêter, d'ailleurs c'est marqué partout : faites-vous aider, nous savons combien vous êtes faible devant la cigarette. Des fumeurs qui ne veulent pas arrêter, ça existe ? Ben y a moi déjà... je suis frileux, mais je déteste qu'on me dise ce que je dois faire.

lundi 12 janvier 2009

Les idées propres

Prenez trois personnes qui discutent. L'une d'elles prétend qu'il est indispensable de se laver tous les jours, sinon c'est dégoûtant. Les deux autres sont loin du compte, mais chacun garde le silence, de peur de donner une mauvaise image de lui. Ils iront même jusqu'à acquiescer mollement si l'autre insiste. Tous trois repartent persuadés que les autres se lavent tous les jours, alors que c'était le comportement minoritaire.

Prenez deux randonneurs qui cassent la croûte ensemble. L'un fait tomber les cinq derniers centimètres de son sandwich dans l'herbe. Seul, chacun des deux aurait ramassé et terminé son sandwich. C'est juste de la terre, faut pas déconner. Mais là, non.

Voilà un bel exemple de faux consensus, il y en a d'autres. Je vous laisse chercher, je vais prendre mon bain hebdomadaire.

Jongle

Jonglerie enflammée avec le Collectif de la Vouivre.

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Les éventails de Faëra...

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... en action !

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Bolas...

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Cracheur de feu...

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Même pour ceux qui le font, le spectacle est vraiment magique !

vendredi 9 janvier 2009

Nanniv'

Joyeux anniversaire, Sabrina.

Mister Jack te souhaite un joyeux anniversaire

mercredi 7 janvier 2009

Mangez sur l'herbe. Dépêchez-vous. Un jour ou l'autre, l'herbe mangera sur vous.

C'est joli, Prévert.

J'aime les piques-niques, mais pourquoi se hâter ? Il y aura dans ma vie exactement le bon nombre de pique-niques.

samedi 3 janvier 2009

Jeux de rôles

Le réveillon a été pour moi l'occasion d'expérimenter une variante de jeu de rôle qui me faisait envie depuis longtemps : la murder party. Le principe est d'interpréter un rôle dans une intrigue où un meurtre est commis. Chaque personnage a bien sûr ses propres buts ; certains cherchent à démasquer le coupable, tandis que d'autres brouillent les pistes ou profitent de l'aubaine pour se remplir les poches... Le thème de celle-ci était l'univers de Batman ; réunis par un guet-appens, héros et vilains doivent s'échapper de leur prison avant qu'elle n'explose. Je n'ai pas été déçu, ce fut très amusant et j'ai en outre été invité à rejoindre un site de rôle-play qui m'a l'air fort intéressant.

L'école de magie ESPRI a pour but de former des mages des saisons pour restaurer l'équilibre climatique du monde. Toutes sortes de gens s'y côtoient : elfes, sylphides, sorciers,... vous créez votre personnage, un élève de l'école, et vous racontez ses aventures en collaboration avec les personnages qui y sont mêlés. Plus littéraire que le jeu de rôle classique, un forum role-play est une façon agréable d'écrire ensemble, et si j'aime beaucoup les jeux de rôle, j'aime plus encore écrire.

Le jeu de rôle est aussi un excellent terrain d'expériences sur le genre, qui n'est après tout qu'une sorte de rôle. J'ai déjà joué des personnages masculins, féminins, ainsi qu'une femme travestie. (Le MJ était réticent à me laisser jouer un perso masculin, et les services secrets américains n'avaient pas encore un recrutement mixte en 1929, loin s'en faut : Fred Brautigan s'est donc fait passer pour un homme, au nez et à la barbe de ses collègues. Depuis, le MJ me laisse choisir le sexe de mes personnages.) Cette fois mon personnage ne correspond pas aux catégories habituelles de sexe ou de genre : intersexué, Spangle déconcerte ceux qui voudraient la classer dans l'une ou l'autre. J'ai hâte de lui faire faire son entrée dans les dortoirs de l'école, non mixtes...

jeudi 1 janvier 2009

Un blog pour quoi faire ?

Bienvenue à toi, cher visiteur. Pourquoi un blog ? Pour partager avec qui voudra (drôle d'idée tout de même) mon humeur du jour, raconter à grands coups d'autodérision (qui se voudra drôle, et ne sera sans doute que maladroite) les aventures de la personne la plus importante de ma vie : moi. Classique, sans surprise : c'est un blog. Seul, je m'étonne de mon adhésion à cette pratique quand vous n'y voyez que l'ordi-naire du net.

Puisque nous sommes le premier janvier, sacrifions à l'usage : meilleurs vœux. (J'ai retiré la photo de houx sous la neige, puisqu'il paraît qu'elle est moche.)

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